Le Pari

Le match emplissait la pièce depuis 10 bonnes minutes, tu étais assis sur le canapé, les yeux rivés sur le poste de télévision, bière fraîche et cigarettes à portée de main... je me mis à rire car c’était l’image que j’avais tant détestée de toi il y a bien longtemps déjà... Mais aujourd’hui c’était différent toi mon petit lu, toi ce complice de jeu qui m’emmène toujours plus loin... et que j’avais envie de gâter pour ces heures étoilées passées avec toi quelques jours auparavant... j’avais cette envie coquine qui me rongeait l’esprit depuis l’après midi... Doucement, je me suis placée prés de toi, feignant de m’intéresser à cette demie finale France Portugal... tu parles... j’avais envie d’un câlin... d’un câlin qui te perturberait, d’un câlin qui te détournerait de cette télévision...

Mes mains virevoltaient sur ton pantalon... caressant tes cuisses, caressant ton torse... A ton regard, je compris que je commençais à t’intéresser à ces caresses... lentement tu dépose une léchouille juste là, à la commissure de ma poitrine....Étant encouragée, je continue à te caresser et commence ton effeuillage, mes mains cherchent à s’amuser...

Tu es excité maintenant, j’ai gagné mon pari avec moi-même, que cette demie finale pouvait être beaucoup plus attrayante si elle devenait coquine. Tu te mordille les lèvres et tes yeux en disent long sans que tu n’ouvres la bouche, ta main posée sur le bas de mes reins que tu caresse lentement ne me laisse plus aucun doute, je sais ce que tu veux me faire subir la dans l’instant ... mais avant je veux t’exciter, te troubler, te faire désirer mes caresses pour assouvir ce brasier que j’ai allumé.

Ma langue et ma bouche parcourent ton entre jambe mais en gardant une certaine distance avec ta verge qui je le sais m’appelle... mais je suis joueuse  et je laisse le désir te posséder pour que tu attende patiemment que ma bouche vienne te cajoler, je laisse ma langue courir sur tout cette virilité qui se tend pour moi,  chaque partie de ta peau est lentement mouillée et aspirée sauf le gland... lui je le laisse de côté, non pas que je n’ai pas envie de venir le bichonner mais juste l’envie que le désir monte en toi encore plus et que lorsque ma langue viendra se poser sur ce champignon rose, tu soit parcouru par un spasme comme si la pièce s’électrisait.

Au creux de mes mains je la suçote d'une langue aussi douce que possible, tiède et imbibée de ma salive et vient me perdre ensuite sur tes bourses que j’aspire, que je lèche et recommence ma valse de langue sur toute ta verge... je contemple cette virilité qui est là ... tendue de fierté, tendue de plaisir et je passe cette verge sur mon décolleté... la douceur de ton gland est d’une sensualité explosive... cette fois, c’est moi qui suis dans tout mes états car pendant que je ballade ta verge sur la haut de ma poitrine, je me prend à imaginer ce même gland caressant mon clitoris et passant sur mes lèvres épilée... mon imagination est fertile et je sens mon intimité se mouiller de plaisir et de désir de toi...

Je te regarde et passe ma langue sur ton gland... et le laisse se nicher entre mes seins... il est chaud et tout humide du plaisir que tu ressent... je le dorlote et le niche dans ce nid qui te comble tant... je l’aspire doucement avec mes lèvres que je resserre comme pour t’emprisonner et fais venir ma langue pour le caresser et n’y pouvant plus, car j’ai faim de toi,  je l’engloutis d’une seule lapée dans ma gorge, va et vient de ta verge dans ma bouche, de ma langue qui danse et virevolte. Tu me regarde, tu gémis, tu respire de plus en plus fort. Je sais que tu aimes... mes yeux ne se détachent plus des tiens et lorsque tu pose ta main sur ma tête... je vois tes yeux briller... je sais que tu veux plus...  tes mains guident ma tête et ma bouche continue de t’aspirer, toujours plus loin. Je joins maintenant ma main à ma bouche et je te branle en en te suçant... les va et vient sont plus rapides, et donne le tempo je continue à te suivre mais je suis joueuse...
j’arrête de te sucer et ne laisse que ma langue toucher ta queue... je continue à te branler au dessus de ma langue... tu n’en peux plus, je le sens, je le sais, je le vois...  et d’un va et vient sans demie mesure, tu te branle laissant ma langue venir te lécher le bout du gland. Ton autre main vient se poser ma poitrine, tu écartes lentement le peignoir de mousseline transparente que je porte, et n’ayant plus aucun maîtrise de ton désir, tu jouis et libère cette écume qui je prend plaisir à goûter et qui se répand sur ma poitrine...

Mon pari est Gagné...
La France est qualifiée... les immeubles autour de nous tremblent... mais ont ils tremblés tout autant intensément que toi... ;-)

Nousse